Avec le confinement, la situation des personnes sans domicile dans les rues de Bordeaux se dégrade, alertent les associations qui aident les plus précaires. « On se sent enfermés à l’extérieur », témoigne Gérard d’Alméida, sans domicile fixe.
Depuis le début de ce deuxième confinement, Gérard d’Alméida, sans-domicile fixe à Bordeaux, se sent plus isolé. « On se sent emprisonnés. On ne peut aller nulle part, on ne peut rien faire », déplore-t-il. « On perd notre sociabilité ».
Gérard bénéficie du passage des maraudes pour se nourrir, et se rend dans le…