Les deux premiers jours après l’annonce de ce nouveau confinement, Jean-Luc Peyre a accusé le coup. Sa tête savait qu’elle allait trouver une solution. Mais son corps a lâché. « J’étais au plus bas », reconnaît le gérant du dernier vidéoclub de Bordeaux. Et finalement celui que tout le monde appelle Yoyo a repris du poil de la bête.
Après 36 ans de bons et loyaux services à louer des films, Yoyo Vidéo en a vu d’autres. Mais ce deuxième confinement est…