Début 2019, sur le compte instagram de Malika (*), les enquêteurs comptabilisent plus de 200 vidéos et photos
: des couples de combattants, des enfants soldats de Daech, des portraits d’un chef terroriste, des cadavres sur un champ de bataille… Autant d’images qu’elle partage avec 1 032 abonnés. Elle affirme au tribunal avoir fait ça pour plaire à un homme rencontré fin 2018, sur Facebook : «
Je voulais qu’il pense que j’étais comme lui.
»
…