Philippe Tireloque, le directeur départemental de la sécurité publique, est satisfait : « Je ne pensais pas que le couvre-feu serait aussi bien respecté le premier soir. » Quelques minutes après 18 h, ses hommes ont bien contrôlé (sans les verbaliser) quelques retardataires dans les rues de Metz. Mais vers 18 h 15, il n’y avait déjà quasiment plus personne. « Nous voulions surtout vérifier le respect de l’heure de fermeture par les commerces, indique le chef des policiers mosellans. Je constate qu’ils ont joué le jeu. Avec des commerces fermés à l’heure,…
