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Le Premier ministre français Jean Castex a déclaré mardi au Parlement que la France était entrée dans une troisième vague de pandémie de COVID-19, la moyenne sur sept jours des nouveaux cas ayant dépassé les 25000 pour la première fois depuis le 20 novembre.
Les autorités sanitaires françaises ont signalé 29 975 nouveaux cas mardi, soit un bond de 4,5% par rapport au total de mardi dernier et la plus forte hausse d’une semaine sur l’autre en un mois et demi. La France est aux prises avec une augmentation constante de nouveaux cas, ce qui entraîne une forte pression sur le système hospitalier du pays, qui, selon d’éminents experts de la santé, ne peut être épargné que par un nouveau verrouillage.
Comme d’autres pays de l’UE, la France est loin derrière les États-Unis ou la Grande-Bretagne en ce qui concerne la vaccination de sa population. Le président Emmanuel Macron espère toujours qu’une campagne de vaccination pourra conjurer les effets d’une nouvelle vague pandémique déclenchée par des variantes plus contagieuses, et ainsi empêcher la France de recourir à un troisième verrouillage national.
Mais la suspension de l’utilisation du vaccin AstraZeneca, annoncée lundi pour des raisons de sécurité, pourrait mettre en péril la stratégie du gouvernement. Le ministère de la Santé a déclaré qu’il y avait 4 239 patients dans les unités de soins intensifs pour le COVID-19, soit une augmentation de 20 en 24 heures et un sommet de près de quatre mois. Le nombre total de personnes hospitalisées pour la maladie a augmenté de 23, à 25 492, un sommet depuis le 24 février.
Le nombre de personnes décédées a augmenté de 408, à 91 170, le septième plus grand nombre de morts au monde. La moyenne mobile des décès sur sept jours est de 267. Avec 4,11 millions de personnes infectées depuis le début de l’épidémie, la France a le sixième plus grand nombre de cas au monde.
(Cette histoire n’a pas été modifiée par le personnel de Devdiscourse et est générée automatiquement à partir d’un flux syndiqué.)
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