La France pour préserver les sons et les odeurs de sa campagne

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Dans une décision historique qui servira à jamais de déclaration à l’aversion ou à l’objection urbaine et nouveau-rurale envers les modes de vie rustiques, les autorités françaises ont adopté une loi pour préserver les sons et les odeurs de la campagne. Cela signifie, entre autres, que personne, encore moins les voyageurs du week-end, ne serait plus en mesure de poursuivre les habitants pour des coqs bruyants.

Il y a eu de nombreux cas de voyageurs et de colons se plaignant de crapauds croassants et d’excréments de chevaux qui gâchaient leur expérience rurale dans la campagne française tranquille. L’affaire du coq Maurice qui se lève tôt et qui chante bruyamment sur l’île d’Oléron a fait l’objet de beaucoup de presse après qu’un couple de personnes âgées vivant dans une maison de vacances se soit plaint de son cock-a-doodle-doos. Maurice a peut-être gagné cette affaire, mais dans un cas particulièrement choquant, un autre coq, Marcel, de Vinzieux en Ardèche, a été abattu et matraqué par une barre de fer par un homme qui ne pouvait plus supporter le chant de l’animal.

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La décision a effectivement mis fin à tous les doutes que quiconque aurait pu avoir quant à une ingérence dans la sérénité et les sons et odeurs naturels de la campagne. Ce règlement voté par les sénateurs français vise à protéger le patrimoine sensoriel du paysage rural notamment «des coqs ou des cigales qui chantent, [and] l’odeur du fumier ou de la bouse de cheval », selon les autorités.

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Cette décision est un plus grand pas en avant pour inciter les voyageurs et les «néo-ruraux» à accepter les sons et les odeurs du paysage rural ainsi que les sites pittoresques proposés. Avec le tourisme rural et les voyages lents à la campagne en hausse, il vise également à définir des attentes réalistes sur ce à quoi s’attendre, en plus de dissuader les touristes de perturber les modes de vie organiques dans ces endroits. Les autorités s’attendent également à créer de la bonne volonté entre les résidents et les voyageurs et à se rapprocher de combler le fameux fossé rural-urbain dans la société française.

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